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Lever l'enfer

Lever l'enfer

Vote : (35 votes)

Licence: Payant

Éditeur: Deep Silver

Version: 1.0.0.0

Fonctionne sous: Windows

Vote :

Licence

(35 votes)

Payant

Éditeur

Version

Deep Silver

1.0.0.0

Fonctionne sous:

Windows

Les plus

  • Variété et liberté des missions
  • Pouvoirs surhumains captivants
  • Humour grinçant et scénario original
  • Ambiance visuelle unique

Les moins

  • Durée de vie peut-être trop courte
  • Univers un peu moins vivant que les opus précédents

Un voyage infernal et complètement déjanté

Un scénario à la hauteur de la démesure de la franchise

Le titre « Saints Row: Gat out of Hell » est tout ce que l'on attend d'un épisode annexe de cette série extravagante : un mélange fantaisiste d'action et une parodie effrénée. Johnny Gat, le personnage emblématique des Saints, et Kinzie Kensington, la brillante hackeuse du FBI, se retrouvent projetés dans un enfer démoniaque et burlesque pour sauver le Président des États-Unis, qui n'est autre que le protagoniste des précédents opus. La promesse est simple : semer le chaos dans les rues infernales pour attirer l'attention de Satan et sauver le leader charismatique des Saints, prêt à être marié de force à la fille de ce dernier.

Une liberté d'action totalisante

Une structure de jeu non linéaire accueille le joueur, proposant une myriade de missions accessibles via une carte interactive simple d'utilisation. Contrairement à un jeu où le chemin à suivre est strictement défini, ici, c'est la liberté qui prime. La variété des défis est rafraîchissante : de la collecte d'orbes à la participation à des joutes démoniaques, en passant par des missions plus singulières comme les escarmouches contre des légions infernales.

Des pouvoirs divinement surpuissants

Si « Saints Row IV » a introduit des supers pouvoirs à sa formule, « Gat out of Hell » les amplifie. Johnny et Kinzie reçoivent des capacités surnaturelles comme le vol angélique ou le super sprint, transformant la progression en une expérience grisante. Ces pouvoirs évoluent rapidement grâce à des alliés rencontrés. Shakespeare, par exemple, confère un puissant « ground stomp » qui dévaste tout sur son passage. C'est ce sentiment fulgurant de toute-puissance qui caractérise l'aventure, éliminant tout risque de frustration ou de lenteur.

Le conte caustique et la ville de l'enfer

Inattendu, l'histoire se révèle à travers un livre de contes, une mise en scène qui allège l'atmosphère déjà très second degré in situ. Côté décor, l'enfer se présente comme une version altérée et démoniaque de Steelport. Bien que familière, la ville est suffisamment modifiée pour satisfaire la curiosité, avec ses zones aériennes, ses abysses de lave et ses nouvelles architectures. Il s'agit là d'un univers à la fois comique et sinistre, habité par des créatures grotesques et fantaisistes.

Humour diabolique et éclats de rire contagieux

La force de ce chapitre réside aussi dans son humour noir et son autodérision, un mélange qui déclenche rires et sourires. Le jeu n'hésite pas à ponctuer son aventure de numéros musicaux ou de dialogues absurdes, faisant souvent mouche avec son audace et son insolence.

Une durée de vie en demi-teinte

Malgré son dynamisme et son gameplay captivant, « Saints Row: Gat out of Hell » pourrait laisser certains joueurs sur leur faim de par sa durée de vie plus limitée. Toutefois, en tant qu'expérience autonome, il conserve une cohérence qui en fait une aventure souvent jouissive, malgré un univers qui peut paraître moins vivant qu'autrefois.

Les plus

  • Variété et liberté des missions
  • Pouvoirs surhumains captivants
  • Humour grinçant et scénario original
  • Ambiance visuelle unique

Les moins

  • Durée de vie peut-être trop courte
  • Univers un peu moins vivant que les opus précédents